11 oct. 2018

King's games, tome 1

Ecrit par : Nobuaki Kanazawa
Edition : Lumen
374 pages
Prix : 15€

[Thriller/Jeunesse]

De quoi ça parle ?


1 classe, 32 élèves, 24 heures pour obéir. Une seule sanction : la mort.

Nobuaki est réveillé en plein nuit par un étrange SMS qui met au défi deux de ses camarades de lycée de s'embrasser. Le mystérieux expéditeur du message prétend que la classe entière participe à un "King's Game". Jour après jour, les défis se succèdent, et les lycéens sont bien obligés de se rendre à l'évidence : ils ont 24 heures pour s'exécuter et la sanction en cas de désobéissance est la mort.
Suicides ou meurtres ? Puissance occulte ou criminel de chair et de sang ? Où qu'elles soient, quoi qu'elles tentent pour s'échapper, la mort vient trouver ses jeunes victimes, infaillible. Le couperet se rapproche dangereusement de nos héros... Parviendront-ils à découvrir la vérité avant qu'il ne s'abatte ?



Selon moi...


Honnêtement, j'ai acheté ce livre sur un coup de tête. J'ai de temps en temps, des petites envies de livre, (en fait c'est très souvent mais la plupart du temps je me raisonne.) alors je vais sur le site Rakuten et je farfouille dans tous leurs articles, quand je suis tombé sur ce roman il m'a paru juste parfait pour ce mois d'octobre.
Alors je me suis lancé, et à peine reçu, quelques jours plus tard je le dévorais.
Il me semble l'avoir vu seulement une fois sur les chaines de booktubes mais je ne me souviens pas d'avoir vu un avis quelconque dessus. Donc je suis entré dans cette histoire complètement à l'aveugle, c'est ce que je fais le plus souvent pour être honnête. Je n'avais pour me diriger que la phrase d'accroche que l'on retrouve sur la couverture du roman.

On va donc suivre un personnage : Nobuaki Kanazawa (Oui, c'est le même nom que l'auteur mais j'avoue que je ne sais pas pourquoi.) Ce personnage est un élève de lycée, simple, banal. Jusqu'au jour où, avec lui, on va suivre les aventures de ce JEU DU ROI.
Le principe, je le trouvais juste génial, il m'intriguait tellement. Ça aurait pu être du style de Gossip girl : c'est la grosse tête de la classe qui dirige tous les autres grâce au chantage. Sauf que ce jeu va se révélé être tout sauf inoffensif.
Chaque jour, à minuit, chaque élève de la classe reçoit un nouvel SMS avec des instructions a accomplir pendant les prochaines 24 heures. Il va y avoir toutes sortes de challenges, certains complètement puérile, d'autre plus sensé. C'est principalement pour cette raison qu'il ne faut pas oublié que c'est un thriller jeunesse ! Ce sont les mots principal a retenir pour qualifié ce roman.

J'ai été conquise par l'idée de ce roman, par le suspens. Personnellement, j'ai vécu cette lecture comme si je regardais un film "d'horreur" à la télé. J'ai ressentis les mêmes sensations. C'est vrai qu'on facilement déceler des incohérence dans ce roman, comme l'inactivité des parents ou de la police. Mais si vous comparé ce roman à certains films d'horreur, c'est exactement la même chose, la police est bien souvent absente de l'histoire. Alors personnellement j'ai trouvé cette histoire aussi crédible que possible, encore une fois, pour un thriller jeunesse.

La fin du roman était un peu brouillon, c'est le plus gros point négatif de ma lecture. Je me suis perdu dans les explications de la fin et c'est dommage. La "solution" décrite était prévisible bien sur, mais la dénouement final était trop tiré par les cheveux, un peu trop dans le mélodrame selon moi.
J'ai donc hâte de lire le deuxième roman. De comprendre la suite, parce que bien sur l'auteur ne nous laisse pas partir comme ça. Il répond à une majorité de question, avant d'en soulever d'autre dans l'épilogue.

Pour moi, ce fut une bonne lecture d'octobre. J'ai très bien choisi le moment de le lire, ce livre rentre complètement dans l'ambiance d'Halloween du mois d'octobre.
Je vous conseil ce roman qui se lit vraiment très vite, mais il faut surtout garder à l'esprit que c'est un THRILLER JEUNESSE, comme je l'ai dit plus haut, n'allez pas comparer ce roman avec du Frank Thilliez ou du Karine Giebel, vous serez automatiquement déçu.


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