3 août 2016

Aristote et Dante découvrent les secrets de l'univers


Ecrit par : Benjamin Alire Sàenz
Edition : Pocket jeunesse
359 pages
Prix : 17,90€


[Contemporain-Jeunesse]

De quoi ça parle ?



Ari, quinze ans, est un adolescent
en colère, silencieux, dont le frère
est en prison. Dante, lui, 
est un garçon expansif, drôle, sûr de lui.
Ils n'ont a priori rien en commun.
Pourtant ils nouent une profonde amitié,
une de ces relations qui changent la vie à jamais...
C'est donc l'un pour l'autre, 
que les deux garçons vont partir en quête
de leur identité et découvrir les secrets de l'univers.


Selon moi...


Ce roman a fait énormément parler de lui. Je dois avouer que je n'ai voulu me le procurer uniquement pour cela parce que je ne connaissais même pas le résumé de l'histoire. Je n'avais entendu que des avis positif à son sujet, sans jamais me soucier du texte.
C'est pour cette raison que je me suis mise à surveiller son apparition d'occasion sur le site de Gibert Joseph.
Et nous voici aujourd'hui.
Je me suis plongé dans ce livre un peu par hasard. Je sortais tous juste d'une histoire que me hantait légèrement. (Regarde moi de Sylvia Day.) J'ai donc eu énormément de mal à m'imprégner de cette histoire.
Pourtant je l'ai tout de même en très peu de temps.

Dans ce livre nous allons donc rencontrer deux jeunes hommes, solitaire et autant spécial l'un que l'autre : Aristote et Dante.
A partir de cette rencontre, l'histoire commence et nous entraîne dans une merveilleuse relation amical, mais pas que. On trouve aussi beaucoup de question sur la vie dans ce roman, ainsi que sur les sentiments amicaux et amoureux.
Bon, j'avoue avoir quand même été déçu par ce roman. Je suis assez mitigé en fait. J'ai placé la barre beaucoup trop haute, mes attentes étaient beaucoup trop.
Ça c'est le danger de la blogosphère et de booktube.
Les gens en ont tellement parlé, en bien, l'ont présenté comme un énorme coup de coeur. Forcément je ne pouvais m'attendre qu'à cela.
Et bien non.
Et je me rends compte que je commence même à en avoir un peu marre de ce style de roman.
Ici, j'ai retrouvé un peu du style de John Green. Ce qui est déjà un mauvais point pour l'auteur.
J'ai trouvé une certaine ressemblance dans leur façon d'écrire, dans leur style de description, dans leurs personnages et leurs histoires.
C'est l'aspect du roman qui m'a le plus déranger je dois dire.

Ensuite, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, que ce soit Dante ou Aristote. Aucun des deux ne m'a particulièrement plu. Ce qui est, encore une fois, difficile pour l'histoire.
Néanmoins, j'ai vraiment aimé le fait qu'il n'y est pas forcément de fille dans l'équation de ce roman. Elles sont plutôt laissées au second plan. Chose qui est très rare.
Parlons un peu de l'histoire, le "nappage" de l'histoire.
L'idée de base était vraiment pas mal, bien amenée, bien trouver ainsi que bien tournée également. L'auteur n'a pas pris les choses avec des pincettes, bien que j'aie deviné la fin du roman avant même le milieu du livre.
Ce n'est pas un sujet que l'on croise partout, et pourtant c'est un sujet très difficile. Je pense qu'il est difficile à aborder, tout comme à le lire ou à l'écouter.

Ce roman n'a donc pas été une pépite pour moi. J'ai aimé découvrir ce roman, qui ne présageait que du bon mais malheureusement, je me suis trop laissé amadouer avec les nombreux avis positif d'internet. Je reste donc sur ma faim.



 








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