Cinquante nuances de Grey

Ecrit par : E.L James

Edition : Le livre de poche

Prix : 6,90€

[Romance contemporaine]

De quoi ça parle :

Anastasia Steele, étudiante en littérature,
a accepté la proposition de son amie
journaliste de prendre sa place pour
interviewer Christian Grey, un jeune
et richissime chef d'entreprise de Seattle.
Dès le premier regard, elle est à la fois séduite et intimidée. Convaincue que leur rencontre a été 
désastreuse, elle tente de l'oublier, jusqu'à
ce qu'il débarque dans le magasin 
où elle travaille à mi-temps et lui propose
un rendez-vous. Ana est follement attirée 
par cet homme. Lorsqu'ils entament une liaison passionnée,
elle découvre son pouvoir érotique,
mais aussi la part obscure qu'il tient à dissimuler...

Selon moi...

Je l'avoue, c'est une relecture. Je l'ai lu une première fois l'année passée alors que je n'avais pas la suite, maintenant que c'est chose faite, je recommence avec une certaine appréhension.
Une appréhension qui s'évapore dès les premiers chapitres.
Je me rend compte après mettre replongé dans cette histoire que j'en avais oublié la majorité. Et j'en suis même bouche bée, de savoir à quel point j'ai pu oublier et transformer cette histoire dans ma mémoire.
Je m'en étais faites une mauvaise image, avec des personnages kitch et sans grand intérêt, que se soit du roman comme du film. J'en avais garder un plutôt mauvais souvenir.
Et finalement, après avoir recommencé ma lecture, je me rend compte à quel point c'est une belle histoire, à quel point les personnages sont attachants avec une réelle histoire et des caractères qui évoluent à vue d’œil.
Vous vous en doutez certainement, j'ai adorer Christian Grey qui a un charme de folie (bien qu'il soit exaspérant à toujours tout faire parfaitement bien). J'ai adoré sa transformation, il change ses principes, sa façon de vivre, sans s'en rendre compte pour une femme, qui selon moi, à les même caractéristique que le personnage de Bella. C'est cet élément qui m'a fait fondre dans ce roman.
Un homme, qui n'admet pas entièrement sa part de sensibilité, qui se renferme sur lui même lorsqu'on le lui fait remarquer. Quoi de plus attendrissant ?
J'ai trouver beaucoup d'élément que j'ai associé à mon expérience personnelle, on ne fait qu'apprécier encore plus en ses conditions.

Au contraire de Christian, Anastasia Steele n'est pas très attachante. Honnêtement, elle ma un peu   -beaucoup- fait penser à Bella dans la série de Stephenie Meyer. (Oui, je le répète, j'y tient).
Moins dans le roman que dans le film je l'admet.
Arrivée a un certain stade de la littérature, se serait bien que les femmes ne soit pas tout le temps représenté comme étant coincé, trop discrète ou pas assez bien à côté d'autre bimbo ou autre situation de ce genre. STOP !!! 
La femme est unique, je suis d'accord sur le fait qu'on puisse avoir des petits doutes, au commencement ou encore par-ci, par-là mais pas dans tous le roman. Ça à un côté rébarbatif pas très agréable.
C'est juste une ÉNORME partie du roman que la remise en question du personnage d'Anastasia.
Quand va-t-elle réaliser qu'elle est importante pour Christian ? Quand va-t-elle réaliser que Christian est prêt à mettre de côté son côté "spéciale" pour elle ?
J'ai tout de même hâte au deuxième tome.

Parlons un peu du film ... 

 Parlons clairement, le film est mauvais.

Je trouve le choix des acteurs réellement parfait, néanmoins il faut se l'avouer ils paraissent coincé. L'un comme l'autre.
*Ma scène favorite -plus drôle- est lorsqu'ils se retrouve tout les deux dans le bureau de Christian pour l'interview.* 
Je trouve qu'ils ont très mal jouer.
Jamie Dornan joue beaucoup beaucoup mieux dans les quelques épisodes de Once upon a time que dans Cinquante nuances de Grey.
J'espère vraiment que le deuxième volet sera plus travailler. 
J'ai lu le roman juste avant de revoir le film, dès les dernière pages lu le film a été lancé. Je vous déconseille d'ailleurs de faire ce genre de chose, car forcément, j'ai vu les scènes du livre répétés. Comme si elles n'avaient pas été travaillés.
Pour faire court, le livre a simplement été récité selon moi.