3 mai 2015

Fahrenheit 451

Ecrit par : Ray Bradbury
Edition : Folio SF
Prix : 5 €

[Science-fiction]

De quoi ça parle ?

451 degrés Fahrenheit représentent
 la temprérature à laquelle un livre
 s'enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture,
 source de questionnement et de réflexion,
 est considérée comme un acte antisocial,
 un corps spécial de pompiers est chargé 
de brûler tous les livres dont la détention
 est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane,
 se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas
 la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement
 consommable. Il devient dès lors un dangereux criminel,
 impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.



Selon moi ... 

Ce fut une grosse déception. Je l'ai trouvé plat, ennuyeux, je n'arrivais même pas à m'intéresser à l'histoire.
Pendant mon année de seconde, je devais le lire pour mes cours de Littérature et société, mais je l'ai vite abandonnée, je me suis donnée un objectif ensuite, le lire en une semaine pendant les grandes vacances. Ce fut une semaine extrêmement longue. 
Le personnage de Milded, la femme du protagoniste, m'a agacée du début à la fin de l'histoire. Elle n'a pas de personnalité, ne réfléchis pas par elle même, ou parfois même pas du tout.
Un autre personnage, celui de Clarisse, la voisine du protagoniste. 
Un personnages que j'ai beaucoup apprécié, mais évidemment, pour continuer dans les flops, l'auteur la fait disparaître.
Elle était intéressante, elle s'intéressait à tout et à tout le monde, c'étais une philosophe née, le seule personnage de l'histoire qui réfléchissait sans se cacher. Qui n'avais pas peur d'être elle même.
Et pour une société pareil, c'étais juste inimaginable.
La vision que la société porte sur les pompiers est très confuse. La propagande décrite ici est aussi assez spéciale mais à la fois logique quand on y pense sérieusement. Elle est bien présenter par l'auteur et défendu.

Dans notre dans notre société, les pompiers sont comme des héros, ils sont des sauveurs.
Ils sont les extincteur du feu, pas ceux qui en sont responsable, comme les pompiers présenté dans ce roman. Ils ont une figure d'autorité, qui est assez extravagante.
En bref, ce roman ne m'a pas du tout convaincu. C'est plutôt rare que je ressente l'ennuie à ce point là lors d'une lecture. Ce texte ne m'a vraiment pas plu, c'est une mauvaise découverte pour moi.
Cela me désole quand même un peu, car l'idée de départ étais vraiment top, je regrette de ne pas avoir plus accrocher avec les personnages, avec l'histoire, et plus particulièrement avec l'auteur.


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