17 avr. 2015

Nos étoiles contraires

Ecrit par : John Green
Edition : Nathan
Prix : 16€90

[Jeunesse-Romance]

De quoi ça parle ?

Hazel, 16 ans, est atteinte d'un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l'évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C'es tlà qu'elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d'Hazel, qui a peur de s'impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d'amour commence... les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.




Selon moi ...

J'ai vraiment mis du temps à me procurer ce roman et à le dévorer, bien évidemment j'ai visionner le film avant (ma fâcheuse habitude), un film qui est devenu l'un de mes favoris.
Je ne vais pas le cacher, tout, absolument tout dans cette histoire ma conquise. J'en suis devenu une fan inconditionnelle, comme beaucoup de monde j'en ai bien peur.

C'est un roman digne d'intérêt, autant que l'adaptation, le roman est parfaitement digne de sa réputation.
Honnêtement, ça ma fait bizarre de retrouver le personnage d'Hazel Grace Lancaster par écrit, les personnages sont différents mais reste fidèle à l'idée que je m'en suis faite. (ou presque)
Au début du roman j'ai été un peu déstabilisé par l'attitude des deux principaux personnages avec leurs parents, je suis assez pointu avec l'attitude que l'on peut avoir en vers les parents, qui sont pour moi de grand model et de grande figure de respect. C'est vrai que cet aspect là, envers les génitaux est souvent représenter de cette manière avec les romans jeunesse. Je suis toujours à la recherche de ce livre que me montrera un nouvel aspect de la relation adolescent-parents.
Bon, appart ça, parlons vraiment du roman.
L'écriture est belle et fluide, on sent une certaine culture ou une certaine intelligence au travers des mots de l'auteur, c'est pour moi (encore une fois) quelques choses de fabuleux chez un écrivain, une chose qui attise ma curiosité et pour le coup, je meurs d'envie de lire d'autres romans de cet auteur. Qui je l'admet, ma séduite.
L'histoire d'amour me fait toujours autant craquer, elle me fait fondre, j'adore tellement assisté à l'évolution des sentiments des deux personnages, je ne sais pas comment vous en parler sans paraître trop gaga ou autre, c'est une histoire d'amour qui ma fait baver quoi !!! 

Bon passons à l'omniprésence du cancer, qui fait un peu l'objet de tout le bouquin. C'est la toute première fois que je me plonge dans un univers de maladie dans un roman.
Depuis la publication de Nos étoiles contraire, il y a eu tout un flot de roman basé sur ce thème, je ne suis pas la tendance livresque, alors c'est une fois la vague passer que je me suis enfin lancer dans ce genre de roman, et pour celui là, j'ai été (comme souvent répété pendant l'article), charmé par la manière avec laquelle l'auteur nous amène les faits. Il n'a pas peur d'en parler, ce n'est pas un sujet tabou ici. John Green arrive même à faire passer l'énormité de la maladie au second plan, dans la première partie de l'oeuvre, on ne pense qu'à la relation d'Augustus et d'Hazel, pas à la maladie.
Et c'est en nous la balançant à la figure qu'elle reviens. Et c'est ça que j'ai adoré avec l'auteur.
C'est un secret pour personnage je pense, ce roman est bel et bien classé dans la très sélect catégorie coup de coeur, je vous le recommande donc fortement. (pour le peu, peu, très peu de gens qui ne l'ont pas encore lu, foncé)

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